Matinée extraordinaire avec des guides d’une compétence rare. Merci à Messieurs Frauli, Scholler, Moritz, Taveneaux et Paul Schini pour leur accueil !!!

Pour visualiser l’ensemble des photos, merci de cliquer sur  le lien ci-dessous :

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Voici le compte-rendu d’élèves :

Le musée de l’ELAV ( espace de la locomotive à vapeur) a ouvert en 2007 à Obermodern. C’est un musée qui explique le fonctionnement d’une locomotive à vapeur. Il y a plusieurs salles : la coupe d’une locomotive, la salle des maquettes, la gare de triage et une cabine de locomotive qui explique quelles sont les commandes. Le lundi 30 novembre, les classes de CE2, CM1 et CM2 ont visité l’ELAV pour découvrir les trains à vapeur et la gare d’autrefois.

1) La locomotive à vapeur.

La locomotive à vapeur est le premier wagon d’un train. Elle fonctionne avec de la vapeur. Pour faire de la vapeur, il faut de l’eau et du feu; pour faire du feu, il faut du charbon. La vapeur pousse des pistons qui entraînent les roues. Pour éviter de gros dégâts, l’eau et le charbon sont stockés dans un wagon appelé le tender. Il y a 6 tonnes de charbon, 10 mètres cubes d’eau et 20 tonnes de sable. Ce dernier permet l’adhérence des roues sur les rails. Pour séparer l’eau et la vapeur, il y a plus de 240 tuyaux. Pour refroidir le charbon, il fallait le faire avec de l’eau. Une locomotive à vapeur pèse 120 tonnes et peut rouler jusqu’à 120 km/h.

2) Une cabine de locomotive à vapeur.

Dans une cabine de locomotive à vapeur, on trouve plusieurs manettes: l’accélérateur, le frein… Il y a un mécanicien et un chauffeur qui met du charbon dans le foyer qui chauffe la chaudière à 850° et la pression est de 20 bars. Les fumées sortent par la cheminée. Quand le train entre en gare, on active le sifflet.

3) La gare de triage.

Dans une gare de triage, on trie les trains. Elle comprend des garages pour locomotives. Elle possède une rotonde qui permet de séparer les locomotives. C’est à cet endroit que l’on recharge le sable, le charbon et l’eau.Beaucoup de personnes y travaillent 24h/24. On récupère aussi les scories ( déchets du foyer de la locomotive) pour les utiliser comme isolant sur les plafonds des maisons.

Elise, Paul, Yann, Laura, Loona et Pierre.

Dans le cadre de notre projet, M. Vogler, ancien professeur d’histoire à la faculté de Strasbourg et originaire d’Obermodern, nous a fait l’honneur d’une intervention dont le thème était « l’histoire d’Obermodern ». Un grand merci à lui…

Voici le compte rendu fait par les élèves :

L’après-midi du lundi 9 novembre, nous avons assisté à une conférence donnée par monsieur Vogler. Le thème de cette conférence portait sur l’histoire d’Obermodern. Monsieur Vogler a commencé par nous raconter son enfance. A l’école, lorsqu’il avait onze ans, à la fin de la seconde Guerre Mondiale, il a du apprendre le Français, alors qu’il ne parlait que l’Allemand et l’Alsacien. Il nous a également rappelé que chaque famille était agricultrice. C’est la raison pour laquelle il y a aujourd’hui beaucoup d’anciennes fermes.

Ensuite, il a parlé des comtes de Hanau-Lichtenberg.

Nous avons appris à connaître le géant d’Obermodern qui s’appelait Georges Kieffer. Pendant quelques années, il fut sacré l’homme le plus grand du monde.

Pour finir, Bernard Vogler nous a parlé de la seconde Guerre Mondiale. Obermodern n’a pas subi beaucoup de bombardements allemands. Sous l’occupation allemande, la rue de la Moder a été rebaptisée Adolf Hitler Strasse. Pendant cette période, les conditions de vie étaient particulièrement rudes et les habitants n’avaient le droit que de parler Allemand et Alsacien. En 1944, les Américains libèrent Obermodern.  C’est la première fois que Monsieur Vogler a vu des personnes de peau noire.

Cet après-midi, nous avons appris beaucoup de choses et nous étions fascinés par l’histoire d’Obermodern.

Pour plus de photos, il suffit de copier-coller le lien ci-dessous…

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Mardi dernier nous avions pris rendez-vous à Zutzendorf dans le verger de M. Paul Schini.L’objectif de cette sortie, dans le cadre de notre projet culturel, était de prendre connaissance avec les pratiques d’antan aussi bien dans la cueillette que dans la façon de planter ou de greffer des arbres, par exemple. Continuer la lecture →